Bobby au Punishment Place

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il y a 5 ans

J’étais encore au lit, somnolant un peu, portant rien que ma couche mouillée et une culotte en plastique, quand j'entendais la clé dans la porte. C'était mon coloc Billy, rentrant de ses vacances. Quelques instants plus tard, c'était la catastrophe.

"Putain, Bobby!" il criait. "Cet endroit est un monstre bordel. Je pars pour deux semaines et qu'est-ce qui se passe! Je pense que t'as même pas fait une seule fois la vaisselle pendant tout ce temps. Tout ce que tu fais c'est rester au lit et mouiller tes couches comme un bébé. Tu sais que tu devrais faire ta part pour garder cet endroit propre et en ordre! Je devrais vraiment de foutre dehors!".

Je devrais préciser que le bail est sur le nom de Billy et qu'il pourrait effectuer cette menace.

"Je suis désolé, Billy", je réponds avec une voix un peu tremblante. "Je pense que je suis devenu un peu négligeant quand t'étais pas là. Je suppose que je mérite d'être puni. Mais s'il te plaît, ne me fous pas dehors", je le suppliais.

"T'as vachement raison que tu mérites d'être puni. Et si tu veux pas être foutu dehors, t'as intérêt d'accepter la punition que je vais décider! Allez, sors de ton lit et aide-moi de ranger ce bordel".

Billy ne disait plus rien sur la punition pendant les jours qui suivaient, mais un soir, au souper, il me disait ce qu'il avait prévu pour moi.

"Un ami m'avait raconté d'un endroit ou on peut amener des adultes pour qu'ils reçoivent la punition qu'ils méritent. Ça s'appelle le « Punishment Place ». Mon ami a envoyé son coloc là-bas pour un week-end et depuis il se comporte nettement mieux! Je pense que c'est justement ce dont t'as besoin."

Puisque je ne disais rien, Billy continuait.

"T'as encore une semaine de vacances, n'est-ce pas Bobby?"

"Ouais," je répondais "j'avais l'intention de la prendre la semaine prochaine et faire un voyage en train."

"Ben, Bobby, oublie ton voyage. Je t'inscris pour une semaine au Punishment Place".

Je commençais à protester quand Billy ajoutait,

"Souviens-toi, Bobby, soit t'acceptes la punition soit t'es dehors!"

Je voulais pas déménager, donc j'avais pas d'autre choix qu'accepter une semaine entière de punition.

"Très bien," disait Billy. "Sois içi a 5 heures et demie ce vendredi. J'arrangerai qu'on va te chercher. Je suis sûr que cette semaine va te faire tant de bien!"

Pendant le reste de la semaine, je pensais surtout à une chose: qu'est-ce qui va se passer pendant ma punition? J'étais vraiment nerveux et j'avais peur, mais j'étais aussi un peu excité. Quand je rentrais vendredi après-midi, je tremblais. Billy me disait que j'avais pas besoin de faire mes bagages et que tout était préparé sur place. A précisément 6 heures le soir, un minibus arrivait dont sortaient deux grandes et jolies filles portant des combinaisons en cuir. Elles sonnaient à la porte et Billy répondait.

"Salut," disait une des filles. "Je suis Cathy et elle c'est Cindy. On est du Punishment Place, et on va

chercher Bobby. Tu dois être Billy qui nous a appelé l'autre jour."

"Oui, je suis Billy. Bobby c'est lui".

"Salut Bobby," disait Cindy. "Avant que tu viens avec nous, tu dois signer ce papier. Ça dit que t'acceptes la punition que tu va recevoir pendant la semaine qui suit et que tu vas pas porter plainte contre nous".

J'étais là avec Billy, Cathy et Cindy qui me regardaient tous, et bien sûr j'avais pas d'autre choix que de signer.

"Très bien, Bobby," continuait Cindy. "Maintenant tu viens avec nous comme un bon garçon. Ne nous fais pas de difficultés. Nous deux on est bien préparés à maîtriser toute résistance. Mais juste pour être sûr, étends tes bras."

Je faisais comme on m'avait dit, et vite je me trouvais avec mes poignets dans des menottes en cuir avec une courte chaîne. Mes pieds se faisaient vite attachés d'une façon similaire. Quand j'étais mené dehors dans le minibus, Billy me criait après:

"Amuse-toi bien, Bobby. On se voit dans une semaine!".

Je lui faisais un regard pas très sympa quand il fermait la porte derrière moi.

J'étais placé sur le siège arrière du bus, avec Cindy et Cathy à côté de moi. La chaîne connectant mes pieds était attachée au sol du bus, et la chaîne de mes menottes était attachée au même endroit, ce qui plaçait mes mains sur mes jambes. Je me sentais vraiment comme un criminel dangereux amené en prison!

"C'est autant pour la sécurité que pour te rappeler que tes notre prisonnier pour la semaine qui suit." expliquait Cathy.

Le chauffeur démarrait le bus et on était sur notre chemin.

Le voyage était d'un peu moins qu'une heure. Le bus rentrait dans un parking souterrain sous une maison toute à fait normale. J'étais relâché du bus et Cathy et Cindy m'amenait à la réception.

"Tu dois être Bobby," disait la réceptionniste. "Voyons, ça dit que tu seras ici pendant toute une semaine. T'as dû être très méchant pour mériter ça! Bon, ne t'inquiète pas. Après cette semaine, je suis sûr que tu seras un très bon garçon."

La réceptionniste prenait le papier que j'avais signé de la main de Cindy et le mettait dans un porte-documents avec mon nom dessus. Donnant le tout à Cindy, la réceptionniste disait :

"Le planning du traitement de Bobby est la-dedans. Ça commence avec un séjour dans l'aire de méditation. Allez, faites qu'il soit proprement habillé et amenez-lui là-bas."

"Viens avec nous, Bobby. Sois un gentil garçon!", disait Cindy.

Elle m'amenait toujours avec mes menottes et la chaîne entre les pieds de la réception par un couloir et dans une chambre marquée « vestiaire ». Là elle enlevait mes menottes et la chaîne et me disait de me déshabiller. Je commençais par ma chemise et mes pantalons, et j'hésitais avant d'enlever mes sous-vêtements. Cindy me disait de me dépêcher et que la désobéissance entraînait des punitions supplémentaires. Alors, tout embarrassé, j’enlevais mes sous-vêtements. Puis Cathy m'amenait dans ce qui ressemblait à un bain pour bébés surdimensionné rempli d'eau et me disait de me coucher dedans.

Dès que j'étais dedans, mes poignets et mes pieds étaient attachés tels que je ne pouvais pas sortir du bain.

"Alors, Billy nous a tout raconté sur tes jeux en couches. C'est donc ça que tu vas porter içi sans arrêt. Mais avant, on s'assure que tu sois tes bien et propre comme un gentil bébé."

Elle commençait à me nettoyer partout avec une éponge et de la crème. Vous pouvez pas vous imaginer comment j’étais embarrassé étant attaché pendant une jolie fille me nettoyait à l'éponge. Après un certain moment je me rendais compte que avec ce traitement mes poils partaient.

"Ah oui, Les bébés n'ont pas de poils, donc on l'enlève de toi aussi."

Je voulais protester, mais étais immédiatement arrêté par Cathy.

"Ah, le bébés ne parlent pas non plus. Dès maintenant, plus de mots des adultes. Voilà, suce ça!"

Et elle me mettait une grande sucette dans la bouche.

Plus tard, elle me séchait, enlevait les derniers de mes poils et me détachait pour m'amener sur une grande table à langer sur laquelle j'étais de nouveau attaché. Cathy amenait plusieurs couches en tissu qu'elle pliait. Elle les poussait sous moi et les attachait avec des épingles de sécurité. Ensuite, détachant mes pieds un à la fois, elle me mettait une culotte en plastique sur mes couches.

"Billy nous disait que tu mouillais beaucoup tes couches, mais on t'assure que tu seras bien langé ici" disait Cathy.

Ensuite elle me détachait.

Du vestiaire j'étais amené deux étages plus bas, dans un couloir sombre et

humide, le long duquel il y avait des cellules avec des portes en métal bien

solides. Une de ces portes était ouverte et j'étais amené dans ma cellule. La

cellule n'était pas illuminé, mais avec la lumière venant du couloir je pouvais

voir qu'il n'y avait rien à part les murs en pierre et quelques chaînes. Cathy

m'enchaînait contre un des murs par mes poignets, ma nuque et mes pieds avec des

entraves en fer. En faisant ça, elle me disait "On va te laisser içi pendant un

bon moment, pour que tu puisses méditer sur ton comportement et la punition que

tu recevras la semaine qui suit. Et rappelle-toi, on peut te renvoyer içi pour

le reste de la semaine si tu ne coopères avec nous! D'ailleurs on ne te dit pas

combien de temps tu vas rester ici, mais de toute façon tu perdras vite la

notion du temps. Maintenant, je te donne une formule spéciale à boire. C'est la

dernière fois que t'auras quelque chose pour un bon moment, alors bois le tout.

Et on ne veut pas que tes couches restent sèches, n'est-ce pas, Bobby?" Bien sûr

j'étais incapable de me servir moi-même, donc Cathy me mettait un biberon d'un

litre à la bouche. Plus tard je découvrais que c'était un mélange d'un

isotonique avec des diurétiques et des stimulants pour que je reste bien

éveillé. Après un moment, j'avais assez bu et j'arrêtais de sucer.

Immédiatement, Cathy me rappelait "Vas-y, Bobby, bois le tout comme un bon

bébé". Je continuais alors. Quand la bouteille était enfin vide, Cathy mettait

une sucette dans ma bouche et l'attachait derrière ma nuque pour que je ne

puisse pas l'enlever. "Ceci fera que tu sois silencieux. On ne veut pas que tu

déranges les autres prisonniers ici." Ensuite elle marchait vers la porte.

"Alors, réfléchis un peu sur tes bavures et ta punition. Amuse-toi bien, Bobby!"

Cathy sortait de la cellule et fermait la porte avec un bruit qui indiquait la

lourdeur de la porte. Je me retrouvais dans l'obscurité totale. J'entendais la

serrure se fermer dans la porte. J'étais très intimidé. Comme Cathy suggérait,

je pouvais rien faire sauf penser à ma punition qui allait suivre et ceci me

rendait de plus en plus nerveux. Après peu de temps, mes couches étaient

mouillées, d'un part à cause du diurétique, mais sans doute aussi à cause de la

peur. Je ne sais pas combien de temps j'ai passé dans cet endroit, mais je

suppose que c'était environ 6 heures. Après ce temps, mes couches étaient très

mouillées. Mes muscles étaient très crispés car j'étais enchaîné et pas capable

de m'asseoir ou me coucher. J'étais très soulagé quand j'entendais la clé dans

la serrure et la porte s'ouvrir. La lumière faible du couloir me faisait mal aux

yeux et ça leur prenait un peu de temps pour s'adapter. Cindy entrait dans la

cellule. "Alors, Bobby, j'espère que la méditations t'a fait du bien. Maintenant

t'auras droit à un peu de sommeil avant la prochaine punition". Cindy me

détachait du mur et m'amenait hors de la cellule et en haut.

Elle m'amenait dans une salle marqué . Dans cette salle il y avait une douzaine de

crèches de taille adulte, tous donnant l'air très solides avec des barres en

métal. Quelques-unes avaient aussi des couvercles, en faisant des véritables

cages. La plupart étaient occupés avec d'autres adultes, hommes et femmes

également, tous portant des couches et des culottes en plastique. Quelques-uns

semblaient être attachés dans leurs crèches dans des façons plus ou moins

inconfortables. Comme c'était au milieu de la nuit, la plupart des "bébés"

dormaient, et les autres était tout aussi silencieux. On m'amenait dans une

petite chambre à côté ou ma couche très mouillée était enlevée. Cindy me

nettoyait, mettait du talc et me langeait avec une nouvelle couche. Ensuite,

j'étais amené dans ma crèche. Je me suis demandé si j'allais être attaché, mais

heureusement cette fois, c'était pas le cas. Cindy enlevait ma sucette et me

donnait un nouveau biberon. Quand j'avais tout bu, elle montait le côté de la

crèche et attachait un couvercle là-dessus. Ensuite elle me laissait seul.

J'ai dû être très fatigué ou bien il avait du somnifère dans le biberon. De

toute façon je me rappelle d'être secoué par Cathy le matin suivant pour que je

me réveille. "Quel beau matin, Bobby! C'est le temps pour une autre journée de

punition." Je remarquais que mes couches étaient vraiment très mouillées, ce

qui voulait dire que j'avais fait pipi dedans inconsciemment pendant la nuit.

Malgré que j'avais dormi avec des couches pendant des années, c'était la

première fois depuis que j'étais un vrai bébé que je faisais pipi au lit sans le

faire exprès. Ceci me faisait un peu peur. C'était probablement dû à

quelque chose dans mon biberon, mais quand même j'avais peur de devenir

énurétique et j'étais pas sûr si j'aimais cette idée. Cathy me sortait de la

crèche et m'amenait dans la salle à langer ou il y avait déjà plusieurs autres

hommes et femmes qui se faisaient langer. Une fille avait aussi sali sa couche.

Elle se faisait attacher sur la table à langer avec le visage vers le bas.

Ensuite elle était nettoyée et elle recevait une bonne fessée. Cathy

m'expliquait "On n'aime pas si nos bébés salissent leurs couches. Tu peux voir

qu'est-ce qui se passe s'ils n'obéissent pas. On te laisse t'asseoir sur le pot

une fois par jour, après le petit déjeuner, et si ça ne suffit pas, on aura

d'autres méthodes." L'équipement pour des lavements qui se trouvait près du mur

m'indiquait quelles étaient ces autres méthodes.

Après avoir été langé et habillé avec une grenouillère, j'étais mené dans la

salle à manger qui était équipée avec une douzaine de chaises pour bébés de

taille adulte. Dans quelques-unes, des bébés étaient attachés et on leur donnait

à manger de la purée. D'autres avaient une sorte de bâillon dans la bouche qui

était connecté à un sac suspendu au-dessus de leur tête contenant de la

nourriture liquide, les f o r ç a nt ainsi à manger la nourriture qui passait par un

trou dans le bâillon. J'étais amené à une chaise ou était suspendu un sac avec

de la nourriture et Caty me bâillonnait. Le bâillon était gonflable et Cathy le

gonflait vite pour qu'il remplissait ma bouche entière. Elle m'expliquait "On ne

sait pas si tu seras coopératif, donc on commence à te nourrir comme ça. Si t'es

sage, t'auras le droit qu'on te donnera à manger avec la cuillère le prochain

jour. Mais si t'es méchant, on continue avec le bâillon." Ensuite, elle

débloquait le tuyau qui connectait le sac au bâillon et la nourriture

commençait à couler dans ma bouche. J'avais pas d'autre choix que d'avaler, et

le fait d'avaler amenait plus de nourriture dans la bouche. "Tu vois Bobby,

c'est pas très agréable", disait Cathy "alors sois un gentil bébé et t'auras

droit à la cuillère." Je décidais que j'allais coopérer. Après ce qui semblait

être un éternité, le sac était vide et Cathy enlevait le bâillon, mais le

remplaçait immédiatement par une sucette qu'elle attachait derrière ma nuque.

"C'est juste pour te rappeler que t'as pas le droit de parler", disait elle.

Puis elle me ramenait dans la garderie.

"Maintenant c'est le temps pour le pot," disait Cathy. "Comme je t'avais dit

avant, c'est juste une fois par journée. Si tu fais pas ton caca maintenant, on

va utiliser d'autres méthodes. Comme je t'avais dit, on n'aime pas les couches

sales par içi". Je voyais devant chaque crèche un pot de taille adulte, mais

dans un style bébé. Quelques-uns avaient la forme d'un canard, d'autres celui

d'une grenouille. Le mien étaient une tortue. Il y avait déjà d'autres personnes

sur leurs pots qui se concentraient sur leur "travail". Cathy enlevait ma

culotte plastique et détachait ma couche, pour me mettre sur mon pot et m'y

attacher. Sûrement j'avais pas envie d'un lavement, mais devant toutes ces

personnes, j'étais tellement embarrassé que je ne pouvais rien faire. Après vingt

minutes, on était détachés de nos pots et les "résultats" étaient contrôlés.

"T'es un mauvais garçon", me disait Cathy quand elle m'attachait ma couche. "Je

t'avais averti de ce qui va se passer si tu ne fais pas caca maintenant. Je suis

sûre que tu vas l'apprendre après ce qui t'arrivera plus tard." Encore une chose

à s'inquiéter pour moi!

Ensuite, c'était le temps pour les punitions du matin. Cathy m'expliquait que

ces punitions n'étaient pas dues à des choses qu'on avait fait içi, mais étaient

parti de la punition qu'on recevait pour la chose pour laquelle on était envoyé

içi. Cathy regardait mon planning et me disait "je vois, t'auras une

particulièrement bonne maintenant. Viens avec moi, Bobby". Elle m'amenait hors

de la garderie, dans un autre couloir et par une porte marquée . La salle était pleine de toute sorte de dispositifs étranges, dont

la plupart avaient du avoir des fonctions que je ne comprenais pas. Mais aucun

me semblait particulièrement agréable. J'étais mené vers un tabouret bas et

rembourré, et ma couche était enlevée. On me disait de me pencher sur le

tabouret et vite j'étais attaché par mes poignets et mes pieds. En plus, une

ceinture en cuir fixait mon corps sur le tabouret. Je ne pouvais pas bouger, ça

c'était sûr. Cathy tournait un interrupteur et je pouvais entendre un moteur

commencer à tourner. Je bougeais ma tête autant que possible pour voir ce qui se

passait et je voyais deux tapettes attachées dans une mécanique.

L'une puis l'autre tapette commençait à me taper sur mon cul, à peu près une fois tous les

5 secondes. Cathy corrigeait quelques réglages pour la position des tapettes et

mettait l'intensité sur 5 sur 10. "ça devrait suffire pour ta première expérience

avec la machine à tapettes. Amuse-toi bien, je retournerai dans un moment". Elle

me donnait aucune indication par rapport au temps que je serais livré à cette

machine diabolique. Après peu de temps mon cul me faisait vraiment mal, et sans

le vouloir je commençais à pleurer comme un e n f a n t . J'ai du subir ce traitement

pendant environ 30 minutes, ce qui faisait environ 360 coups. Quand Cathy

retournait enfin et me détachait, les larmes coulaient sur mes joues.

Je suppose qu'elle réalisait qu'elle devait montrer un peu de la grâce et me

mettaient de la crème calmante sur mon derrière quand elle remettait ma couche.

"Voilà Bobby, c'est tout fini pour le moment." Elle m'amenait dans la salle à

jouer. C'était une grande salle remplie de jouets et il y avait quelques autres

bébés adultes qui jouaient ou dormaient. On avait tous des sucettes qui étaient

attachées, donc personne ne parlait. Comme j'avais toujours mal, je me mettais

sur le côté pour jouer un peu avec des blocs de construction. Après un peu de

temps je commençais à somnoler, mais j'étais interrompu pas Cathy qui annonçait

que c'était le temps du repas de midi. J'étais ramené dans la salle à manger ou

je recevais mon repas par la bâillon. Cathy me disait "si t'es un bon bébé pour

le reste de la journée, on te donnera ton souper avec la cuillère".

Après le repas c'étais le temps de la sieste et j'étais ramené et rattaché à ma

crèche. Couché dans ma crèche je me suis rendu compte que j'avais un besoin

urgent de faire caca. Comme je devrais f o r c é ment le faire dans ma couche, ça

voulait dire que je serai puni pour ça. Donc j'essayais de le retenir aussi

longtemps que possible, mais inévitablement le besoin était trop fort et j'ai du le laisser aller. Quand Cindy arrivait pour voir si j'avais besoin d'être langé, l'accident était apparent. "T'es un mauvais garçon, Bobby! Tu vas regretter de ne pas avoir fait caca ce matin sur le pot." Depuis mon accident, j'était couché sur mon ventre pour limiter les dégâts. Maintenant Cindy me tournait sur le dos et m'attachait à la crèche en s'assurant j'étais bien assis dans ma couche sale.

"Tout d'abord tu vas passer le reste de l'après-midi comme ça, ensuite on aura encore quelques surprises pour toi! Quelques heures plus tard, j'étais amené à la salle à langer ou on m'a nettoyé. Mais ensuite, comme j'avais craint, j'étais attaché à plat ventre et un gros tuyau était introduit dans mon derrière.

"C'est pour que tu te rappelles de ne plus faire ce que t'as fait cet après-midi" disait Cindy quand elle gonflait le ballon qui empêchait de sortir le tuyau. Je sentais l'eau tiède me remplir. Je pense que deux litres s'écoulaient dans moi avant qu'elle arrêtait le flux d'eau. Elle détachait le tuyau mais laissait le dernier bout avec le ballon tel que l'eau pouvait pas sortir. Ensuite elle me langeait avec une couche extra épaisse et deux culottes en plastique.

En me ramenant à la crèche, elle attachait mes poignets tel que je pouvais pas toucher à ma couche ou au plug dans mon derrière. "Comme ça t'auras pas d'accidents pendant un moment!" disait-elle avant de me laisser seul. Je me demandais combien de temps elle allait me laisser comme ça, puisque les crampes dans mon ventre devenaient de pire en pire. Après 30 minutes elle revenait pour enlever le plug en dégonflant le ballon et le retirant sans ouvrir ma couche.

Presque immédiatement je commençais à faire dans ma couche. Cindy m'attachait

aussi les jambes en me disant que j'allais rester comme ça toute la nuit. Mais

avant de partir j'avais encore droit à un souper au bâillon. 15 minutes plus

tard, Cindy revenait pour détacher le sac avec la nourriture, mais en laissant

le bâillon dans ma bouche. "Bonne nuit, Bobby!" elle disait avant de me laisser

pour la nuit.

Je ne dormais pas très bien, vu la position inconfortable dans laquelle je me

trouvais. Dimanche matin, j'étais néttoyé et langé dans une nouvelle couche bien

propre. Après le petit déjeuner et la séance sur le pot venait la punition du

matin. Elle se faisait avec une machine bien méchante, qui consistait d'un grand

disque tournant fixé verticalement sur un bassin d'eau. J'était fermément

attaché sur ce disque avec mes poignets, mes pieds, mes cuisses, ma hanche et ma

nuque. Ensuite le disque se mettait à tourner. environ vingt secondes par minute

ma tête était sous l'eau. Même si cela me paniquait pas, c'était très

désagréable, aussi vu le fait que l'eau était froid à cailler. Je pense qu'ai du

subir ce traitement pendant une heure et j'étais dans un état déplorable quand

Cindy venait pour me détacher et sécher.

Cet après-midi j'étais étrangement excité, donc je commençais à me frotter

contre le matelas en cautchouc. Mon pénis tout dur dans ma couche mouillée était

vraiement une très bonne sensation et j'avais vite un climax. Mais aussitôt

arrivait Cindy. "T'és très très mauvais, Bobby! Ce n'est pas permis içi. On doit

s'assurer que tu ne le feras plus". Elle partait pour retourner avec une

seringue et une gaine en plastique. D'abord elle me faisait une piqûre qui

rendait mon pénis tout mou. Ensuite elle passait sur mon pénis la gaine qui

avait juste la bonne taille. Elle était retenue par une petite chaîne autour mon

scrotum, fermée à clé avec un petit cadenas. Je sentais que la gaine était munie

de petits pics à l'interieur - pas assez aigus pour me blesser, mais

certainement assez pour me faire mal. Il était évident quel était le but de la

gaine. Chaque fois que je commençais à avoir une érection, mon pénis se coinçait

douloureusement contre les pics de la gaine. "Voilà" disait Cindy "ça devrait

t'empêcher d'être insolent de nouveau. Et en plus ça nous donne une autre façon

de nous amuser avec toi." Je me demandais qu'est-ce que ça voudrait dire, mais

j'étais pas sûr de vraiement vouloir le découvrir. Une fois la couche remise en

place, j'étais relâche de la crèche pour jouer.

Le soir, Cindy et Cathy m'amenaient dans une salle. Elles enlevaient ma culotte

en plastique et ma couche et m'attachaient dans une chaise avec des fixations

pour les poignets et les pieds. Elles pouvaient voir mon pénis avec la gaine.

Les deux commençaient à performer un strip-tease très sensuel, ce qui provoquait

une érections douloureuse dû à la gaine. Après 15 minutes elles me remettaient

la couche et la culotte. "C'était marrant, n'est-ce pas Bobby?" se moquait Cindy

"il faudra refaire ça une autre fois". Elles me ramenaient à la salle à jouets

et je sentais la peine et l'humiliation de la procédure. Elles savaient quand

même bien punir quelqu'un!

Le matin suivant, après avoir fait dans le pot comme un bon garçon, j'étais surpris quand Cindy me disait que vu les punitions méchantes que j'avais reçues dernièrement, pour ce matin une simple fessée devrait suffir. La fessée faisait quand même mal, mais comparée à tout le reste que j'ai du subir, c'était presque agréable. Le reste de la journée passait sans évènements spéciaux.

Mardi matin, je pouvais pas faire dans le pot, même en me donnant de la peine. Cindy me grondait et ensuite insérait un plug dans mon derrière avant de me langer. "Comme ça tu vas pas faire caca avant que nous le voulons. On ne veut pas que l'accident de la dernière fois se répète!".

Ce matin ma punition se faisait sur une installation qui consistait d'un banc en bois et des attaches pour le pieds, les poignets et la nuque. J'ai du m'asseoir sur le banc tandis que mes jambes étaient écartées et attachées vers le bas, aussi bien que mes poignets et ma nuque vers le haut. "Amuse toi-bien, on se voit plus tard" disait Cindy en sortant. Ma situation était très mal à cause du plug sur lequel j'étais assis, surtout comme mes pieds étaient tirés vers le

bas, ce qui mettait encore plus de pression sur le plug. En plus, le plug stimulait mon pénis, ce qui faisait mal à cause de la gaine que je portais toujours. Pour faire les choses encore pires, après quelques heures, je commençais à ressentir un besoin de faire caca. Quand Cathy venait me visiter, j'était surpris et horrifié du fait qu'elle me donnait seulement à manger et ne me détachait pas.

Il a du être vers 5 heures le soir quand j'étais finalement détaché et amené sur la table à langer. Ma couche était trempée et j'avais urgemment besoin de faire caca. Mais aussitôt qu'était enlevés ma couche et le plug, un tube pour un

lavement était introduit à la place du plug. Quand Cathy l'insérait elle disait

"Peut-être ça t'apprend à faire caca sur le pot!". J'ai du subir le lavement et

une fessée de 10 minutes avant d'avoir droit de me soulager enfin. Heureusement,

rien de spécial m'arrivait ce soir. Mais j'ai du dormir avec mes poignets

attachés à mes pieds avec des chaînes de 5 cm.

Le jours suivants se passaient comme d'habitude avec des punitions le matin et du temps pour jouer l'après-midi. Le dernier jour, jeudi, après le pot, Cindy m'amenait dans un bureau et disait "Bobby, ton temps içi à presque écoulé. J'espère que t'as bien appris ta leçon. Je t'indique que nous offrons à nos clients une garantie, donc si Billy a encore raison de se fâcher avec toi, il peut de renvoyer içi à moitié prix. Et la punition sera plus dure que tout ce que t'as ressenti jusqu'à présent. Billy nous à demandé de te faire signer cet accord et si tu ne le respectes pas, tu seras retourné içi." Cindy me passait la feuille. L'accord était le suivant: "Le sous-signé, Bobby, accepte d'obeir son colocataire Billy complètement. Il va faire le ménage quand Billy le demande, et ceci rapidement, proprement et sans se plaindre. Il va garder sa chambre propre et en ordre. Il va porter des couches chaque nuit et à tout temps quand Billy

lui demande de les porter. Bobby va laver soi-même se couches et vêtements de

bébé. Toute v i o l ation de cet accord aura comme résultat que Bobby sera renvoyé au pour se faire plus discipliner". Puisque je ne voulais pas déménager j'avais pas de choix qu'accepter l'accord. Et l'ayant accepté j'avais les meilleures intentions de le respecter. J'avais aucune envie de retourner pour plus de punitions!

Ensuite Cindy me permettait de mettre mes vêtements normaux en-dessus mes couches (ça se voyait TRES bien sous mes pantalons) et m'amenait à la réception, ou Billy m'attendait pour m'accompagner à la maison. "J'espère que t'as bien appris ta leçon cette semaine, Bobby" disait-il quand on partait du.

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